Dans un monde de plus en plus dominé par le numérique, notre environnement de travail s’est totalement transformé devenant digitalisé et virtualisé. Ce mode de travail apporte son lot d’avantages : flexibilité pour les employés et moins de coûts pour les employeurs. L’un des concepts les plus en vogue dans le nouveau monde du travail est ce que nous appelons le bureau virtuel ou Virtual Desktop Infrastructure (VDI).
Tel que son nom l’indique, le bureau virtuel est une copie d’un poste de travail traditionnel. Il dispose de plusieurs services permettant aux utilisateurs d’exécuter leurs tâches comme d’habitude moyennant un tableau de bord flexible, fiable et sécurisé. Il a, en effet, sa propre unité centrale de traitement, mémoire, interface réseau et plateforme de stockage. Il est facilement installé grâce à l’émulation (la substitution d’un élément de matériel informatique par un logiciel, ndlr) et la virtualisation.
Contrairement à un poste de travail classique, le bureau virtuel présente plusieurs avantages d’un intérêt majeur pour les entreprises en ce contexte de crise. La réduction des coûts – à plusieurs niveaux – vient d’ailleurs en haut de l’échelle.
D’abord l’infrastructure. Au lieu d’investir dans des infrastructures physiques, des serveurs notamment, les entreprises peuvent utiliser les serveurs virtuels pour opérer les postes de travail qui, in fine, ne sont que de simples afficheurs des opérations exécutées par les serveurs. Avec les systèmes virtualisés, les entreprises peuvent déployer rapidement de nouveaux serveurs virtuels à l’aide de modèles préconfigurés et sécurisés.
Cela implique d’une part moins d’espace donc moins d’investissement en termes de locaux et d’autres part, des coûts d’entretiens moins onéreux et moins d’étapes chronophages à exécuter et moins d’efforts à fournir pour les équipes techniques. La configuration étant opérée par les serveurs, sans que cela ne génère de coûts supplémentaires comme en cas d’installation d’un nouveau poste de travail physique. Les équipes techniques peuvent, ainsi, se focaliser sur d’autres tâches et optimiser davantage leur productivité.
De même pour les utilisateurs. Un poste de travail virtualisé garantit davantage de mobilité pour les usagers. Ceux-ci sont dissociés de leurs postes de travail physiques et peuvent accéder à leurs bureaux virtuels à tout moment et où qu’ils soient.
Les bureaux virtuels sont, par ailleurs, créés et adaptés au rythme de développement de chaque entreprise et les outils personnalisables en fonction des demandes. L’administrateur peut de ce fait disposer des données et modifier les droits d’accès à des fichiers pour chaque collaborateur lui accordant, donc, celles qui sont nécessaires à l’exécution de ses tâches uniquement.
Ces systèmes virtualisés permettent, également, d’améliorer la sécurité des données. Étant indépendants puisque isolés les uns des autres et possèdent leur propre matériel virtuel, ils offrent, en cas de sinistre, la possibilité d’une reprise rapide grâce à une solution de sauvegarde et de récupération.
La société 3S – dotée d’une expertise reconnue dans le domaine – offre, aujourd’hui, un accompagnement sur mesure pour les entreprises souhaitant mettre en place ces solutions de bureau virtuel – pour réduire la consommation d’espace et d’énergie – et s’engager pleinement dans cette transition, inéluctable dans un environnement digitalisé où le télétravail commence à prendre une place prépondérante. L’entreprise dispose non seulement de compétences techniques constamment formées aux dernières tendances et mouvements technologiques mais, également, de partenaires de renommée internationale connus pour la solidité et la fiabilité de leurs solutions. 3S a pu, durant ses années d’activité, tisser de prestigieux partenariats avec des équipementiers technologiques tels que Cisco, DELL Technologies, Fortinet, VMware, Nutanix, IBM, Microsoft…
Nadya Jennene