La pression créée par l’épidémie de COVID-19 sur les systèmes commerciaux mondiaux met en évidence le besoin urgent d’une coopération mondiale pour maintenir et renforcer la résilience des chaînes d’approvisionnement internationales.
Pour aider les organisations à être mieux préparées aux impacts d’une pandémie future et à accélérer un rebond économique post COVID-19, le Forum Economique Mondial publie aujourd’hui le kit « Redesigning Trust: Blockchain Deployment Toolkit » qui permet aux dirigeants de maximiser les avantages et de minimiser les risques de cette technologie. La résilience dans les chaînes d’approvisionnement dépend de la confiance, de la transparence et de l’intégrité, qui à leur tour, peuvent être améliorées grâce au déploiement responsable de technologies de blockchain qui offrent une «vérité partagée».
La première boîte à outils de ce type est l’aboutissement de plus d’un an d’efforts pour recenser les meilleures pratiques du déploiement de la blockchain dans toutes les industries. S’appuyant sur l’expertise mondiale de plus de 100 organisations – y compris les gouvernements, les entreprises, les start-ups, les institutions universitaires, la société civile, les organisations internationales et les experts en technologie et en chaîne d’approvisionnement – le kit vise à aider les entreprises à gérer les complexités du déploiement de cette nouvelle technologie et à accélérer son impact positif.
La boîte à outils a été testée dans une variété de contextes différents par des organisations développant des solutions blockchain au sein de leurs chaînes d’approvisionnement, notamment l’Autorité numérique d’Abu Dhabi, Hitachi, Saudi Aramco ainsi que plusieurs PME.
Elle a été créée par le Forum Economique Mondial avec le réseau de Centres pour la Quatrième Révolution Industrielle de Hitachi, Deloitte et Saudi Aramco. Parmi les nombreux autres qui ont contribué à son développement, dans plus de 50 pays, figuraient le Centre pour la Quatrième Révolution Industrielle des Emirats Arabes Réunies, le port de Los Angeles, Latham & Watkins, Cardiff Business School, Université de Berkeley, Tech Mahindra, Maersk Angola, La Banque mondiale, La Inter-American Development Bank, et le Programme Alimentaire Mondial.
D’après communiqué