Le terme Big Data est omniprésent et pourtant il engendre encore la confusion dans les cercles professionnels ce, à l’échelle mondiale. Que l’on parle de gigantesques volumes de données, de réseaux sociaux, de données en temps réel ou d’analytique, la plus grande part de la confusion autour du Big Data est due à sa définition elle-même.
Cette année, IBM s’est associé avec l’Université d’Oxford afin d’aider les entreprises à aller au-delà de la médiatisation autour du Big Data et ainsi leur permettre de bénéficier d’une vision plus profonde de la manière dont leurs pairs définissent et envisagent le Big Data dans leurs stratégies d’amélioration de performance. Basé sur une enquête mondiale auprès de 1100 entreprises et professionnels de l’informatique dans 95 pays, le nouveau rapport révèle des résultats quelque peu surprenants.
L’enquête a révélé que les plus grands efforts consacrés par les entreprises au Big Data sont axés sur l’amélioration de l’expérience client. Mais en dépit de ce fort accent mis sur le client, moins de la moitié de ces efforts sont actuellement consacrés à l’analyse des données sur les réseaux sociaux : seulement 43% des entreprises interrogées disent regarder les données externes présentes sur les réseaux sociaux afin de mieux comprendre leurs consommateurs. Si l’on considère que toutes les 60 secondes 600 nouveaux billets de blog sont publiés et 34 000 tweets sont partagés, les entreprises qui négligent les réseaux sociaux passent à coté de précieuses informations sur leurs clients. L’étude montre par ailleurs que seulement 25% des entreprises interrogées estiment qu’elles ont les capacités requises pour analyser les données totalement non-structurées : un frein majeur à l’obtention d’une plus-value du Big Data.
Chaque organisation, toute industrie confondue – du commerce de détail au service bancaire, du secteur de la santé au gouvernement – essaie de se lancer sur le Big Data afin d’obtenir les meilleurs résultats commerciaux. De fait, l’étude montre que les précurseurs sont en train de gagner un avantage concurrentiel.
L’étude en format PDF est disponible ici
Source : Communiqué