Le secrétaire américain au Commerce, Wilbur Ross, a annoncé, lundi, que le département du Commerce avait reconduit le mandat de Takreem El Tohamy, directeur général d’IBM pour le Moyen-Orient et pour l’Afrique, en tant que membre du Conseil consultatif du président américain sur la gestion des affaires en Afrique (PAC-DBIA).
Pour rappel, le PAC-DBIA avait été créé en 2014 afin de fournir au Président américain des analyses, mais également des conseils et des recommandations concernant le renforcement de l’engagement commercial entre les États-Unis et l’Afrique. Pendant toute la période 2019-2021, le PAC-DBIA continuera à jouer un rôle essentiel en supervisant les activités du gouvernement américain dans le continent, mais aussi en travaillant à faire progresser la stratégie «Prosper Africa» menée par l’administration Trump en Afrique. Cette initiative économique pan-gouvernementale vise à faire sensiblement accroître le commerce et les investissements, mais aussi à soutenir la création d’emplois aux États-Unis et en Afrique.
«J’ai l’honneur de représenter à nouveau IBM au sein du Conseil consultatif du Président, qui collabore étroitement avec les gouvernements de toute l’Afrique afin de promouvoir les différentes initiatives qui contribuent à stimuler la croissance et la prospérité économiques sur l’ensemble du continent», a déclaré El Tohamy. «Depuis près d’un siècle en Afrique, IBM collabore avec les administrations locales, mais aussi avec les partenaires et les organisations de tous les secteurs dans le but d’aider les entreprises à devenir plus intelligentes et à transformer la façon dont les gens vivent et travaillent».
Grâce à une présence directe dans près de 24 pays africains, renforcée par l’installation de deux centres de recherche et de 17 centres techniques et de livraison, IBM continue à mettre en place les systèmes, infrastructures et processus nécessaires à la transformation économique et sociale de tout le continent. Travaillant en étroite collaboration avec ses clients et partenaires, IBM apporte une transformation à grande échelle en Afrique par le biais de ses technologies innovantes et des nouvelles approches qu’elle implémente au niveau de tous les secteurs.
A titre d’exemple, IBM en Afrique supporte le développement de solutions bancaires avancées pour atteindre les segments de la communauté n’ayant pas d’opérations financières à travers la fourniture de services bancaires et électroniques à la mesure de leurs besoins, et aussi IBM aide à contribuer à l’instauration d’une agriculture durable et à la protection de la faune africaine. IBM mène des initiatives qui visent à relever les défis les plus pressants au niveau du continent, aussi bien en matière de santé et d’éducation que d’accès à l’eau potable.
IBM a depuis longtemps pris conscience de sa responsabilité qui consiste à se concentrer sur le développement des compétences en Afrique. A ce titre, IBM a lancé le programme “IBM Digital –Nation Africa (D-NA)”, pour le développement des compétences des jeunes Africains. Ce dernier vise à accélérer la culture numérique en Afrique. En outre et en collaboration avec les ministères égyptien et marocain, IBM a déployé ses écoles P-TECH qui aspirent à fournir aux jeunes africains de nouvelles compétences destinées à les aider à mieux intégrer le marché de l’emploi. IBM collabore également avec pas moins de 16 universités du continent dans le but d’enseigner l’informatique quantique en Afrique et de former des étudiants et des professeurs à cette technologie révolutionnaire.
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