L’exploitation des fréquences en Tunisie demande une autorisation de la part des autorités compétentes. L’Agence Nationale des Fréquences (ANF) alloue par la suite les ressources spectrales de la Tunisie aux différents services, dont les opérateurs télécoms, pour leurs besoins contre une tarification bien spécifique pour chaque fréquence.
L’exploitation des fréquences en Tunisie demande une autorisation de la part des autorités compétentes. L’Agence Nationale des Fréquences (ANF) alloue par la suite les ressources spectrales de la Tunisie aux différents services, dont les opérateurs télécoms, pour leurs besoins contre une tarification bien spécifique pour chaque fréquence.
Or, les 3 opérateurs mobiles qui utilisent ces ressources pour la 2G et la 3G, n’ont pas payé l’ANF sur certaines périodes d’exploitation, notamment au début de leur activité commerciale. Le ministère des TIC et ses instances sous tutelle ont fait parvenir aux 3 opérateurs les montants à régler à partir de ce mois de janvier 2014.
Pour Tunisie Telecom, l’Etat a demandé de payer environ 500 mille dinars. Quant à Tunisiana, la filiale d’ooredoo devra payer ses dus de l’année 2002 (année de son lancement commercial), soit 2,4 millions de dinars. Et finalement Orange Tunisie qui devra casquer la bagatelle de 5,5 millions de dinars.
Malgré ses débuts très difficiles (marché du mobile saturé, pas de dégroupage, etc.), Orange a accepté de régulariser sa situation par un paiement échelonné de sa facture à partir de ce mois-ci.
W.N