Quand il s’agit de liberté d’expression dans nos pays arabes, on frise souvent le ridicule. La dernière anecdote nous vient des territoires occupés palestiniens, ou un jeune activiste et Facebooker, Anas Ismail, vient d’écoper de 6 mois de prison fermes pour diffamation à l’encontre d’un ancien ministre des télécommunications.
Quand il s’agit de liberté d’expression dans nos pays arabes, on frise souvent le ridicule. La dernière anecdote nous vient des territoires occupés palestiniens, ou un jeune activiste et Facebooker, Anas Ismail, vient d’écoper de 6 mois de prison fermes pour diffamation à l’encontre d’un ancien ministre des télécommunications.
La victime, un jeune palestinien de 29 ans passionné par les réseaux sociaux, dit avoir été inculpé pour avoir mis un « J’aime » sur un statut qui appelait à la démission de Mach hour Abou Daqa, ancien ministre des télécommunications, et un autre « J’aime » sur un statut appelant à lui régler ses comptes.
Pour un J’aime donc, on arrive à jeter des gens en prison. Cela prouve encore une fois que la liberté n’est pas près de pointer son nez dans notre région, et que les cyberactivistes devront vivre, encore, de sales jours dans le futur.
SEA