RightsCon, le premier événement mondial sur les droit humains dans l’ère numérique se déroule à Tunis du 11 Juin au 14 Juin 2019 entre l’hôtel Laico et le Palais des Congrès.
Dans sa huitième itération, RightsCon Tunis aura, lieu pour la première fois, en Afrique et le Moyen Orient avec des prévisions de plus de 2,500 participants actifs venant de 130 pays.
Étant un centre de technologie émergente et une démocratie croissante, la Tunisie a été choisi en raison de son rôle comme un symbole d’espoir dans la région et dans le monde.
Les événements récents en Tunisie tels que le décernement du prix Nobel de la paix et l’entrée en vigueur du Start Up Act, situe le pays à l’avant-garde de la région grâce à son engagement dans ces conversations cruciales au sujet des droits humains à l’ère numérique.
RightsCon Tunis est aussi une opportunité pour mettre en valeur la richesse du patrimoine et l’histoire de la Tunisie, ainsi que sa vision de l’avenir où le pays s’engage à devenir un chef de file dans le domaine de la technologie numérique.
RightsCon rassemble des chefs d’entreprise, des responsables politiques, des directeurs juridiques, des technologues, des universitaires et des défenseurs des droits humains afin d’aborder les problèmes urgents qui se trouvent à l’intersection des droits humains et de la technologie numérique.
Cette année, RightsCon a l’honneur d’accueillir Mme Michelle Bachelet, Haut Commissaire des droits de l’homme, ainsi que cinq rapporteurs spéciaux comme représentants des nations unis. Plusieurs personnes éminentes du gouvernement Tunisien et de l’Union Européenne, des sociétés du secteur privé, les acteurs de la société civile tunisienne et mondiale seront aussi présents massivement et bien représentés.
La conférence se compose de divers type de sessions, qui ont chacun un but précis pour assurer des discussions constructives qui sont axés sur des résultats. Cette manifestation tend, dans cette édition, à résoudre des problèmes à l’échelle internationale tels la protection des données personnelles, les désinformations, la censure et manipulation des élections, ainsi qu’au niveau local, en abordant des sujets particuliers tel que l’inclusion financière digitale en Tunisie.
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Communiqué
