Voici un communiqué que nous avons reçu de la part de PR-Factory, l’agence de communication de Microsoft Tunisie à propos des bénéfices des logiciels sous licence contre ceux piratés.
Voici un communiqué que nous avons reçu de la part de PR-Factory, l’agence de communication de Microsoft Tunisie à propos des bénéfices des logiciels sous licence contre ceux piratés.
Une nouvelle étude de la BSA (The Software Alliance) et l’INSEAD (l’une des écoles phares à l’échelon mondial) constate qu’augmenter l’utilisation de logiciels sous licence aurait un meilleur impact sur l’économie de la Tunisie que de permettre une croissance similaire de l’usage de logiciels piratés.
Augmenter de 1% l’utilisation de logiciels sous licence ajouterait 28 millions de dollars à la production nationale. Ce chiffre ne serait que de 14 millions de dollars s’il s’agissait de logiciels piratés. Cela signifie que les logiciels sous licence pourraient produire une valeur économique supplémentaire de 14 millions de dollars.
«Un avantage compétitif : l’impact économique de l’utilisation de logiciels sous licence » est une analyse révolutionnaire qui s’appuie sur les données de 95 pays dans le but de démontrer que l’utilisation de logiciels sous licence contribue de manière importante à l’économie nationale. En effet, l’étude affirme que lorsque l’on favorise l’utilisation de logiciels sous licence, cela permet d’augmenter significativement la croissance du produit intérieur brut (PIB). En outre, le stimulus économique qui résulte des logiciels sous licence est beaucoup plus important que celui des logiciels piratés.
«L’utilisation de logiciels sous licence minimise les risques et favorise une efficacité opérationnelle qui profite directement aux entreprises », signale Dale Waterman, Président du comité BSA pour le Moyen-Orient et l’Afrique. «Cette étude démontre que les logiciels sous licence ne sont pas seulement bénéfiques pour les entreprises – ils sont aussi un important stimulateur de la croissance économique nationale. Le gouvernement, les autorités judiciaires et le secteur industriel Tunisien doivent saisir toutes les opportunités pour profiter de ces gains potentiels en réduisant le piratage et en promouvant l’utilisation de logiciels sous licence».
L’étude constate également que chaque dollar supplémentaire investi dans des logiciels sous licence offre un retour sur investissement de 154$ comparé à 27$ pour chaque dollar supplémentaire investi dans des logiciels piratés.
Parmi les autres résultats de l’étude:
· Augmenter d’1% l’utilisation de logiciels sous licence à l’échelle mondiale permettrait d’injecter 73 milliards de dollars dans l’économie mondiale – chiffre qui ne serait que de 20 milliards de dollars pour le même taux s’il s’agissait de logiciels piratés ; ce qui représente un écart de 53 milliards de dollars.
· Tous les pays inclus dans l’étude témoignent d’un meilleur retour sur investissement dès lors qu’ils utilisent des logiciels sous licence plutôt que des logiciels piratés.
· Pour tout dollar investi, le retour sur investissement réel relatif aux logiciels sous licence est plus élevé dans les pays en voie de développement : en moyenne une telle utilisation génère 437$ de PIB supplémentaire. Mais on peut relever que tous les pays en tirent profit, quel que soit leur niveau de revenus: le retour sur investissement moyen pour tout dollar investi est de 117$ pour les pays ayant un niveau de revenus élevé et 140$ pour les pays ayant un niveau de revenus moyen.
«Des études précédentes ont montré que les services à valeur ajoutée offerts avec des logiciels sous licence aident les entreprises à réduire leurs coûts et à augmenter leur productivité. Cette étude va encore plus loin en permettant de mesurer l’impact lié à l’utilisation de logiciels sur la production nationale », rapporte Eduardo Rodriguez-Montemayor, principal chargé de recherche à eLab@INSEAD. Ainsi, « les résultats obtenus affirment que les logiciels sous licence sont bénéfiques pour le monde des affaires et pour les économies nationales, et qu’ils ont un impact économique supérieur à celui des logiciels piratés, dans tous les pays inclus dans l’étude».
Les gouvernements et les entreprises qui souhaitent saisir l’opportunité économique que représente l’utilisation de logiciels sous licence doivent entreprendre les mesures suivantes :
· Etablir des lois effectives et modernes en matière de propriété intellectuelle dans le but de protéger les logiciels et tout type de produits protégés par le droit d’auteur, que cela soit sur des ordinateurs, sur des mobiles ou encore sur le «cloud».
· Renforcer les droits de propriété intellectuelle et allouer des ressources nécessaires.
· Sensibiliser le public aux risques liés à l’utilisation de logiciels piratés.
· Montrer l’exemple en utilisant seulement des logiciels sous licence, et mettre en œuvre un programme de gestion des actifs logiciels.
Une version complète de l’étude «Un avantage compétitif : l’impact économique de l’utilisation de logiciels sous licence» est disponible sur le site de la BSA.
Source : communiqué